« Excusez-moi, je n’ai pas le choix, j’ai besoin d’argent »
À chaque fois qu’il a commis un braquage, Quentin s’est confondu en excuses : pas l’habitude sans doute, pas le cran de menacer ses victimes, pas le cœur à ça probablement.
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Que décidera le juge Coppée, chargé de sanctionner ce braqueur ? La maladresse peut-elle être une circonstance atténuante ? Ce n’est pas prévu par le code pénal…